Toute entreprise ayant à cœur le bien-être et la performance par la santé de leurs salariés au quotidien ainsi que sur le long terme. En effet, de multiples causes peuvent influer sur l’état bio-psycho-social de vos collaborateurs, parmi lesquelles se trouve la réalisation ergonomique des gestes et postures au travail.
Votre devoir en tant qu’employeur ? Permettre à vos collaborateurs de s’épanouir et de travailler dans les meilleures conditions.
Bien souvent, les chefs d’entreprises ou responsables santé au travail sous estiment à quel point la prévention de santé est un facteur essentiel dans la réussite d’une entreprise sur le long terme.
Cette réussite c’est votre choix, faire de la prévention c’est parier sur l’avenir.
Les collaborateurs font chaque jour des milliers de gestes et maintiennent pendant des heures des positons afin de réaliser leurs tâches quotidiennes. Ces gestes et postures sont exécutés avec leur principal outil de travail: leur corps.
En France, les TMS (Troubles musculo-squelettiques) représentent 87% des maladies professionnelles.
De même, 20% des accidents du travail sont liés à des maux de dos.
De ce constat, deux questions se posent:
Les collaborateurs sont les premiers touchés par les conséquences de ce manque de vigilance. En somme, ceux-ci peuvent développer à terme des traumatismes corporels qui les suivront même après leur départ à la retraite.
En donnant des chiffres simples d’études d’organismes de santé français, on peut voir que la lombalgie est la première cause d’incapacité professionnelle avant 45 ans, soit d’inaptitude au travail. Accentuant dès lors l’absentéisme en entreprise.
Bien souvent les entreprises pensent que ces pathologies rachidiennes ne touchent que les collaborateurs de secteurs à risque et physiquement éprouvants.
Malheureusement, par les positions que nous devons tenir durant des heures face aux postes informatiques, la rachialgie (cervicalgies, dorsalgie, lombalgie) s’avèrent être extrêmement présentes dans le secteur administratif. Les études montrent que ces positions et les troubles associés s’aggravent d’année en année.
Ainsi, Nous constatons aujourd’hui des chiffres de plus en plus inquiétants: – 45% des TMS connues par vos collaborateurs aujourd’hui entraîneront des séquelles lourdes d’ici quelques années. En effet, les symptomes de ces maladies professionnelles ont une évolution dans le temps en trois phases.
Nous nous sommes intéressés à l’aspect physique. Mais n’oublions pas que l’individu est un être bio-psycho-social, il est donc réducteur de penser que l’entreprise est touchée uniquement lorsque l’employé est obligé de se mettre en arrêt maladie pour cause de TMS ou autre motif.
Cependant, il s’avère que les performances et la productivité du travailleur sont amoindries bien avant le stade avancé d’une pathologie corporelle quelconque.
En outre, la perte d’efficacité du travailleur commence dès ces premières douleurs et sont souvent suivies d’une perte de motivation lorsque les douleurs deviennent quotidiennes et rapides quand il se met dans sa position de travail ou exécute les mouvements qui sont liés à la tâche. Enfin, ces douleurs devenant peu à peu chroniques et sont sources d’un déconditionnement global avec une forte atteinte de la qualité de vie, le poursuivant jusqu’au soir une fois rentré à son domicile.
C’est lors du dernier stade que la problématique se pose de manière brutale et totale pour l’entreprise car l’absentéisme du salarié s’accroît et perdure dans le temps.
Le médecin déclare alors le collaborateur comme étant dans l’incapacité totale de réaliser les missions qui lui sont confiées.
Nous nous sommes intéressés à l’aspect physique. Mais n’oublions pas que l’individu est un être bio-psycho-social, il est donc réducteur de penser que l’entreprise est touchée uniquement lorsque l’employé est obligé de se mettre en arrêt maladie pour cause de TMS ou autre motif.
Cependant, il s’avère que les performances et la productivité du travailleur sont amoindries bien avant le stade avancé d’une pathologie corporelle quelconque.
En outre, la perte d’efficacité du travailleur commence dès ces premières douleurs et sont souvent suivies d’une perte de motivation lorsque les douleurs deviennent quotidiennes et rapides quand il se met dans sa position de travail ou exécute les mouvements qui sont liés à la tâche. Enfin, ces douleurs devenant peu à peu chroniques et sont sources d’un déconditionnement global avec une forte atteinte de la qualité de vie, le poursuivant jusqu’au soir une fois rentré à son domicile.
C’est lors du dernier stade que la problématique se pose de manière brutale et totale pour l’entreprise car l’absentéisme du salarié s’accroît et perdure dans le temps.
Le médecin déclare alors le collaborateur comme étant dans l’incapacité totale de réaliser les missions qui lui sont confiées.
Plaçons nous de votre côté. En tant qu’employeur votre rôle est de garantir la fidélisation de vos collaborateurs et collègues autour d’une cause commune, la raison d’être de votre entreprise. Cette raison d’être se trouve composée des actions que vous et vos collègues réalisez chaque jour et qui aboutira à quelque chose de plus grand.
Pour que chacune de ces actions soit pleinement réalisée et de la manière la plus productive possible, il vous faut des salariés heureux, impliqués et performants.
Mais par quoi passe la performance ?
La performance est la capacité d’un collaborateur à réaliser sa ou ses missions en s’accomplissant. Celle-ci passe par deux grands points: Ses compétences (assurées par la capacité de l’entreprise à former ses salariés sur les missions qui leurs seront confiées.) et – la vitalité (physique & psychologique).
Effectivement, même avec les compétences les plus élevées, le salarié reste avant tout un humain. Un humain qui peut vite se fatiguer s’il ne travaille pas de la meilleure des manières.
Comme pour un sportif qui court un marathon, votre collaborateur réalise chaque jour les tâches qui lui sont confiées tout au long de l’année.
Ainsi, il s’avère que le sportif apprend à courir de la meilleure des manières afin de ne pas s’épuiser inutilement et d’être au meilleur des ses capacités et de son potentiel physique. Pour votre salarié, la même chose se produit chaque jour. S’il ne court pas de la meilleure des manières, il finira pas s’épuiser physiquement puis émotionnellement.
La prévention est donc indispensable afin de lui apporter les bons outils et d’assurer la réussite de ses actions quotidiennes. Ainsi, il peut se concentrer pleinement sur ses compétences et travailler de la meilleure des façons.
Il détiendra dès lors les clés pour ne pas s’user professionnellement (physiquement) et pourra utiliser et mettre l’intégralité de ses compétences et de son énergie au service de son activité et de l’entreprise.
Au delà de l’explication, les chiffres nous interpellent et peuvent inquiéter les employeurs si un TMS touche un de leur collaborateur.
Selon l’assurance Maladie (Ameli) -> 30% des arrêts de travail sont causés par un TMS (Troubles Musculo-squelettiques).
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On considère communément qu’un arrêt de travail pour une pathologie touchant le dos du salarié dure environ deux mois. Cela jusqu’à retrouver son poste habituel et enfin récidiver un mal de dos plus important si ses conditions de travail et ses postures/mouvements n’ont pas été corrigés.
Mais que représentent financièrement ces maux corporels qui se soldent par un arrêt ?
Bien souvent, nous n’arrivons pas à nous imaginer et à cerner clairement les enjeux de la prévention pour une entreprise.
En effet, en tant que Chef d’entreprise (petite ou plus importante) vous savez bien à quel point un arrêt d’une telle durée peut mettre à mal une structure toute entière.
Les problèmes liés à un TMS d’un collaborateur pour une entreprise ne s’arrêtent pas là. En effet, en plus d’impacter la qualité de vie du salarié et l’entreprise sera impactée bien après l’arrêt.
En effet, l’entreprise devra parfois procéder à de gros ajustements du poste de travail. Ces ajustements ou refontes complètes demandent des milliers d’euros d’investissement aux entreprises qui sont dès lors dans l’obligation d’adapter le poste de travail du collaborateur.
En tant que professionnel, ma mission est de vous aider à prendre conscience de ces risques et faire appel à votre pragmatisme afin de les cerner rapidement et de les contrer au maximum et le plus tôt possible.
Exerçant une activité de kinésithérapeute en traitant quotidiennement les pathologies, je mesure les conséquences à long terme engendrées par les TMS. Alors autant les prevenir.